BRICS, (Brazil, Russia, India, China, and South Africa), was established on June 16, 2009, with the primary objective of reducing member nations' dependence on the Western economy. Notably, BRICS collectively represents 25% of the world's total economic output, covers 26.7% of the world's surface area, comprises 41.5% of the global population, and boasts a combined GDP of $25 trillion. And now we know why people are fascinated by BRICS.Upon closer examination, it becomes evident that South Africa stands as the weakest member. Meanwhile, Brazil contends with an alarmingly high interest rate of 13.25%, and Russia remains embroiled in a protracted conflict that was initially expected to last no longer than two months but has now persisted for a year and a half, leading to a host of sanctions. In contrast, India appears to hold the most promising long-term potential within BRICS, and China's impressive, meritocratic GDP cannot be overlooked.However, skepticism lingers regarding BRICS' ability to fully meet global expectations, driven by factors extending beyond economic considerations. One pressing concern centers on the significant conflict between BRICS' heavyweight members, China and India, particularly in the heavily militarized Tibet region. Recent events, such as those in the Galwan Valley, have amplified these tensions (https://lnkd.in/epYzuYpM).Additionally, the recent inclusion of new members within BRICS, including KSA, UAE, Argentina, Egypt, Iran, and Ethiopia, raises questions. While KSA and UAE demonstrate economic strength, Argentina grapples with staggering hyperinflation at 113.40%. Egypt's economic performance, marked by high inflation and a soaring interest rate of 19.25%, is concerning, and its national currency has seen a significant depreciation from $0.10 in 2008 to just $0.032 in 2023. Meanwhile, Iran struggles under sanctions.Amidst these uncertainties, my skepticism regarding BRICS' prospects remains unwavering. I believe that the recent recruitment of new members has extinguished the last opportunity for BRICS to thrive. Photo Credits to visualcapitalist.com

by Badr Elhamzaoui | 9 months ago | 0 Comment(s) | 236 Share(s) | Tags :


Le risque op rationnel est un risque non financier qui peut avoir un impact n gatif sur la performance d'une organisation. Il peut être caus par une vari t de facteurs, tels que les erreurs humaines, les d faillances des systèmes, les catastrophes naturelles ou les actes de malveillance. Le secteur financier marocain est soumis à un cadre r glementaire strict en matière de gestion des risques, notamment le risque op rationnel. Ce cadre est bas sur les normes internationales d finies par le Comit de Bâle sur le contrôle bancaire (BCBS). Statistiques Selon une tude de Bank Al-Maghrib, le risque op rationnel repr sente environ 30 % du capital requis par les banques marocaines. Les principaux risques op rationnels auxquels sont expos es les banques marocaines sont les suivants : Les erreurs humaines (25 %) Les d faillances des systèmes (20 %) Les risques li s aux systèmes d'information (15 %) Les risques li s aux clients (10 %) Les risques li s aux produits (10 %) Évolutions Le management du risque op rationnel a connu un d veloppement significatif dans le secteur financier marocain au cours des dernières ann es. Cette volution est due à plusieurs facteurs, notamment : La mise en œuvre des normes internationales du BCBS La pression des investisseurs et des r gulateurs La prise de conscience croissante des risques op rationnels Perspectives Le management du risque op rationnel continuera à se d velopper dans le secteur financier marocain dans les ann es à venir. Cette volution sera port e par plusieurs facteurs, notamment : La digitalisation des activit s bancaires La complexification des produits et services financiers L' mergence de nouveaux risques op rationnels Recommandations Pour renforcer le management du risque op rationnel dans le secteur financier marocain, il est recommand de mettre en œuvre les mesures suivantes : D velopper une culture de la gestion des risques au sein des institutions financières Investir dans les technologies de l'information et de la communication Renforcer la coop ration entre les institutions financières et les r gulateurs Sources et liens Bank Al-Maghrib, "Rapport sur le risque op rationnel dans le secteur bancaire marocain" (2022) Comit de Bâle sur le contrôle bancaire, "Basel III: International framework for liquidity risk measurement, standards and monitoring" (2013) International Auditing and Assurance Standards Board (IAASB), "International Standards on Auditing (ISAs)" International Organization for Standardization (ISO), "ISO 31000:2018 Risk management - Guidelines" Conclusion Le management du risque op rationnel est une composante essentielle de la gestion d'une institution financière. Le secteur financier marocain a fait des progrès significatifs dans ce domaine, mais il reste encore des efforts à faire pour renforcer la culture de la gestion des risques et pour s'adapter aux nouveaux risques op rationnels.

by Youness El Kandoussi | 10 months ago | 0 Comment(s) | 180 Share(s) | Tags :


Contents Introduction. 6 Évolution de la fintech au Maroc et en Afrique. 6 Les principaux facteurs de croissance. 6 Les d fis du secteur fintech. 7 Perspectives. 7 Évolution de la r glementation de la fintech au Maroc et en Afrique. 7 Conclusion. 7 Introduction. 9 1.1 Contexte de la Fintech. 9 1.2 Objectifs de l'article. 9 Évolution de la Fintech au Maroc. 10 2.1 Croissance de la Fintech. 10 2.2 Acteurs cl s du secteur. 10 2.3 R glementation en vigueur. 11 III. R glementation de la Fintech au Maroc. 11 3.1 Cadres r glementaires. 11 3.2 Initiatives de r gulation. 12 3.3 Impact sur l'industrie. 12 Expansion de la Fintech en Afrique. 12 4.1 R volution Fintech dans divers pays africains. 13 4.2 Solutions de paiement novatrices. 13 4.3 Utilisation des services financiers mobiles. 13 Conclusion. 14 6.1 R capitulatif des points cl s. 14 6.2 Perspectives pour l'avenir. 14 I. Introduction 1.1 Contexte de la Fintech La Fintech est un secteur en pleine volution au Maroc et en Afrique. Bien que le Maroc accuse un certain retard par rapport à d'autres pays africains, le pays commence à innover et à devenir un centre de technologie financière en phase de d marrage[2]. Le Maroc dispose d'un important secteur bancaire qui peut être consacr au d veloppement de ce secteur technologique[2]. En outre, la r glementation marocaine ne pose pas de freins particuliers au d veloppement des fintech[1][2][3][5]. 1.2 Objectifs de l'article Cet article vise à examiner l' volution de la Fintech et de la r glementation au Maroc et en Afrique. Les sources d'information dans l'article sont les suivantes: - [1] Finances News Hebdo: Cet article souligne que le secteur de la Fintech accuse un net retard par rapport à d'autres pays africains. Il met galement en vidence le potentiel des fintech au Maroc et les d fis à relever pour leur d veloppement. - [2] Industries.ma: Cet article indique que le paysage de la Fintech au Maroc est en pleine volution et que le Maroc commence à devenir un centre de technologie financière en phase de d marrage. Il souligne galement les avantages concurrentiels que les start-up de la Fintech au Maroc peuvent offrir par rapport aux banques traditionnelles. - [3] Laquotidienne.ma: Cet article examine les d fis et les opportunit s li s à l'utilisation de l'intelligence artificielle dans le secteur de la Fintech au Maroc. Il met galement en vidence la croissance rapide du march de la Fintech au Maroc et les avantages concurrentiels des start-up de la Fintech. - [4] Challenge.ma: Cet article souligne que le Maroc est encore à la traîne en matière de Fintech, mais qu'il dispose d'une r elle opportunit de faire du Maroc un centre de technologie financière. Il met galement en vidence les initiatives lanc es par les autorit s publiques pour promouvoir la Fintech. - [5] PwC Maroc: Cet article examine les Fintech en Afrique et souligne que le Maroc dispose d'un cosystème Fintech encore embryonnaire mais en volution. Il met galement en vidence les avantages non n gligeables dont dispose l'Afrique pour combler l' cart avec les autres r gions du monde. - [6] Finances News Hebdo: Cet article examine la place de la Fintech dans l' cosystème entrepreneurial et des start-up au Maroc. Il met galement en vidence le potentiel des fintech au Maroc et les d fis à relever pour leur d veloppement. En somme, les sources d'information examin es dans cet article soulignent que le Maroc dispose d'un important potentiel pour le d veloppement de la Fintech, mais qu'il doit relever certains d fis pour y parvenir. La r glementation marocaine ne pose pas de freins particuliers au d veloppement des fintech, mais elle est encore en volution[3][5]. Les start-up de la Fintech peuvent offrir plusieurs avantages concurrentiels par rapport aux banques traditionnelles[2][3]. Les autorit s publiques ont lanc des initiatives pour promouvoir la Fintech[4][6]. Citations: [1] https://fnh.ma/article/actualite-financiere-maroc/fintech-au-maroc-l-ecosysteme-peine-a-decoller [2] https://industries.ma/fintech-le-maroc-simpose/ [3] https://laquotidienne.ma/article/economie/fintech-intelligence-artificielle-technologie [4] https://www.challenge.ma/fintechs-le-maroc-encore-a-la-traine-249734/ [5] https://pwcmaroc.pwc.fr/fr/publications-communique-de-presse/fintechs-en-afrique.html [6] https://fnh.ma/article/actualite-financiere-maroc/economie-numerique-le-potentiel-des-fintech-au-maroc-pas-encore-pleinement-exploite II. Évolution de la Fintech au Maroc 2.1 Croissance de la Fintech Le march de la Fintech au Maroc est en croissance rapide[1][2]. Selon un rapport publi par le cabinet de conseil en strat gie Boston Consulting Group (BCG) en 2019, le Maroc comptait environ 80 start-up de la Fintech en 2018, soit une croissance de 60% par rapport à l'ann e pr c dente[1]. Les domaines de la Fintech les plus actifs au Maroc taient les paiements en ligne, les transferts d'argent et la finance participative[1]. Le Maroc dispose d'un important potentiel de croissance pour la Fintech en raison de sa population jeune et connect e, de l'augmentation de l'accès à Internet et des smartphones, ainsi que de la volont du gouvernement marocain de promouvoir l'innovation technologique dans le secteur financier[1][2][3]. 2.2 Acteurs cl s du secteur Le paysage de la Fintech au Maroc est en pleine volution et le Maroc commence à devenir un centre de technologie financière en phase de d marrage[2][3]. Le Maroc compte environ 80 start-up de la Fintech[1]. Les acteurs cl s du secteur sont les start-up de la Fintech, les banques traditionnelles et les autorit s publiques[2][3]. Les start-up de la Fintech peuvent offrir plusieurs avantages concurrentiels par rapport aux banques traditionnelles, notamment l'innovation[1][2]. Les banques traditionnelles peuvent jouer un rôle important dans le d veloppement de l' cosystème des Fintech en partageant leur expertise, leur savoir-faire, leurs donn es clients ainsi que leurs agr ments avec des start-up porteuses de projets innovants[2]. 2.3 R glementation en vigueur La r glementation marocaine en matière de Fintech est encore en volution[1][2]. Les start-up de la Fintech doivent obtenir des autorisations et des licences de la Banque centrale et de l'Autorit marocaine du march des capitaux (AMMC) pour offrir certains produits et services financiers[1]. Toutefois, la r glementation marocaine ne pose pas de freins particuliers au d veloppement des Fintech[1][2][3][4]. La r glementation marocaine fait adh rer l'ensemble des utilisateurs à un système de confiance grâce à Bank Al-Maghrib[4]. Toutefois, la place gagnerait à formaliser un cadre règlementaire pour l'open banking[2]. En somme, le march de la Fintech au Maroc est en croissance rapide et le pays commence à devenir un centre de technologie financière en phase de d marrage[1][2][3]. Les acteurs cl s du secteur sont les start-up de la Fintech, les banques traditionnelles et les autorit s publiques[2][3]. La r glementation marocaine en matière de Fintech est encore en volution, mais elle ne pose pas de freins particuliers au d veloppement des Fintech[1][2][3][4]. Les start-up de la Fintech peuvent offrir plusieurs avantages concurrentiels par rapport aux banques traditionnelles[1][2]. Citations: [1] https://laquotidienne.ma/article/economie/fintech-intelligence-artificielle-technologie [2] https://fnh.ma/article/actualite-financiere-maroc/fintech-au-maroc-l-ecosysteme-peine-a-decoller [3] https://industries.ma/fintech-le-maroc-simpose/ [4] https://pwcmaroc.pwc.fr/fr/publications-communique-de-presse/fintechs-en-afrique.html [5] https://www.challenge.ma/fintechs-le-maroc-encore-a-la-traine-249734/ [6] https://fnh.ma/article/actualite-financiere-maroc/economie-numerique-le-potentiel-des-fintech-au-maroc-pas-encore-pleinement-exploite III. R glementation de la Fintech au Maroc 3.1 Cadres r glementaires La r glementation marocaine en matière de fintech est encore en volution[1][2][3][4][5]. Les start-up de la fintech doivent obtenir des autorisations et des licences de la Banque centrale et de l'Autorit marocaine du march des capitaux (AMMC) pour offrir certains produits et services financiers[1][3]. Toutefois, la l gislation marocaine n'interdit ni n'entrave la cr ation de soci t s de technologie financière, car il n'existe pas de r glementation sp cifique à l'heure actuelle[2][4][5]. La r glementation marocaine ne pose pas de freins particuliers au d veloppement des fintech[1][2][3][4][5]. Toutefois, la place gagnerait à formaliser un cadre règlementaire pour l'open banking[2][3]. 3.2 Initiatives de r gulation Les autorit s publiques ont lanc des initiatives pour promouvoir la fintech au Maroc[1][4][5]. La Banque centrale du Maroc encourage le système financier bien structur du pays à investir dans l'adoption du num rique[2]. En 2018, la Banque Populaire a lanc la première dition du programme Fintech Challenge et Open Innovation pour montrer les opportunit s dans ce secteur à niveau continental, notamment pour les start-up africaines par le biais de partenariats et de financements[4]. Toutefois, le d veloppement de la fintech au Maroc n cessite une r vision de fond de la licence bancaire et des tablissements de cr dits[1][5]. 3.3 Impact sur l'industrie La r glementation marocaine en matière de fintech a un impact sur l'industrie[1][3]. La r glementation complexe et incertaine peut rendre difficile pour les start-up de naviguer dans cet environnement[1][3]. Toutefois, la r glementation marocaine ne pose pas de freins particuliers au d veloppement des fintech[1][2][3][4][5]. Les start-up de la fintech peuvent offrir plusieurs avantages concurrentiels par rapport aux banques traditionnelles[1][2][3]. Le d veloppement de l' cosystème des fintech au Maroc demeure tributaire de la volont des banques à partager leur expertise, leur savoir-faire, leurs donn es clients ainsi que leurs agr ments avec des start-up porteuses de projets innovants[2]. En somme, la r glementation de la fintech au Maroc est encore en volution, mais elle ne pose pas de freins particuliers au d veloppement des fintech[1][2][3][4][5]. Citations: [1] https://fnh.ma/article/actualite-financiere-maroc/fintech-au-maroc-l-ecosysteme-peine-a-decoller [2] https://www.lopinion.ma/Economie-numerique-La-reglementation-de-la-fintech-demeure-limitee-au-Maroc_a31202.html [3] https://laquotidienne.ma/article/economie/fintech-intelligence-artificielle-technologie [4] https://industries.ma/fintech-le-maroc-simpose/ [5] https://fnh.ma/article/actualite-financiere-maroc/economie-numerique-le-potentiel-des-fintech-au-maroc-pas-encore-pleinement-exploite [6] https://www.challenge.ma/fintechs-le-maroc-encore-a-la-traine-249734/ IV. Expansion de la Fintech en Afrique 4.1 R volution Fintech dans divers pays africains La Fintech est en pleine expansion en Afrique, avec une croissance rapide dans de nombreux pays[2][3][4][5]. Selon un rapport de McKinsey, les revenus cumul s des soci t s de Fintech en Afrique pourraient être multipli s par huit d'ici à 2025, pour atteindre 30 milliards de dollars[2]. Les pays africains les plus actifs dans le domaine de la Fintech sont le Nigeria, l'Afrique du Sud, le Kenya, le Ghana et l'Egypte[2][3][4]. Les Fintech africaines ont de beaux jours devant elles, car elles offrent des solutions innovantes pour r pondre aux besoins financiers des populations africaines[2][3][4][5]. Les investissements dans la Fintech en Afrique ont augment de manière significative ces dernières ann es, passant de 400 millions de dollars en 2017 à plus de 2 milliards de dollars en 2021[5]. 4.2 Solutions de paiement novatrices Les Fintech africaines ont d velopp des solutions de paiement novatrices pour r pondre aux besoins des populations africaines[2][3][4][5]. Les solutions de paiement mobile, telles que M-Pesa au Kenya, ont r volutionn le secteur des paiements en Afrique[2][3][4][5]. Les Fintech africaines ont galement d velopp des solutions de paiement en ligne, des portefeuilles lectroniques et des plateformes de transfert d'argent[2][3][4][5]. Ces solutions ont permis de r duire les coûts de transaction et d'am liorer l'inclusion financière en Afrique[2][3][4][5]. 4.3 Utilisation des services financiers mobiles Les services financiers mobiles sont de plus en plus utilis s en Afrique[2][3][4][5]. Les Fintech africaines ont d velopp des solutions de paiement mobile pour r pondre aux besoins des populations africaines, qui ont souvent un accès limit aux services bancaires traditionnels[2][3][4][5]. Les services financiers mobiles permettent aux utilisateurs de transf rer de l'argent, de payer des factures et d'effectuer des transactions financières à partir de leur t l phone portable[2][3][4][5]. Les services financiers mobiles ont permis d'am liorer l'inclusion financière en Afrique, en permettant à des millions de personnes d'acc der à des services financiers de base[2][3][4][5]. En somme, la Fintech est en pleine expansion en Afrique, avec une croissance rapide dans de nombreux pays[2][3][4][5]. Les Fintech africaines ont d velopp des solutions de paiement novatrices pour r pondre aux besoins des populations africaines, en utilisant notamment les services financiers mobiles[2][3][4][5]. Les investissements dans la Fintech en Afrique ont augment de manière significative ces dernières ann es, passant de 400 millions de dollars en 2017 à plus de 2 milliards de dollars en 2021[5]. Citations: [1] https://www.africafintechnetwork.com [2] https://www.lemonde.fr/economie/article/2023/05/03/en-afrique-le-decollage-des-fintech_6171865_3234.html [3] https://www.mckinsey.com/~/media/mckinsey/industries/financial%20services/our%20insights/fintech%20in%20africa%20the%20end%20of%20the%20beginning/fintech-in-africa-the-end-of-the-beginning.pdf [4] https://www.mckinsey.com/industries/financial-services/our-insights/fintech-in-africa-the-end-of-the-beginning [5] https://www.un.org/africarenewal/magazine/august-2022/fintech-other-knowledge-intensive-services-could-drive-africa%E2%80%99s-prosperity [6] https://industries.ma/fintech-le-maroc-simpose/ VI. Conclusion 6.1 R capitulatif des points cl s La Fintech est en pleine volution au Maroc et en Afrique, avec une croissance rapide dans de nombreux pays[1][2][3][4][5]. Le Maroc commence à devenir un centre de technologie financière en phase de d marrage, avec environ 80 start-up de la Fintech en 2018[1][2]. Les acteurs cl s du secteur sont les start-up de la Fintech, les banques traditionnelles et les autorit s publiques[1][2][3][5]. La r glementation marocaine en matière de Fintech est encore en volution, mais elle ne pose pas de freins particuliers au d veloppement des Fintech[1][2][3][4][5]. Les besoins en matière de r gulation de la Fintech en Afrique sont nombreux, notamment en matière d'harmonisation des r glementations nationales et de protection des consommateurs[1][2][5]. 6.2 Perspectives pour l'avenir L'avenir de la Fintech au Maroc et en Afrique est prometteur, avec un fort potentiel de croissance[1][2][3][4][5]. Les Fintech africaines ont d velopp des solutions de paiement novatrices pour r pondre aux besoins des populations africaines, en utilisant notamment les services financiers mobiles[2][3][4][5]. Les investissements dans la Fintech en Afrique ont augment de manière significative ces dernières ann es, passant de 400 millions de dollars en 2017 à plus de 2 milliards de dollars en 2021[5]. Toutefois, les d fis r glementaires en Afrique sont nombreux, notamment en raison de la diversit des r glementations nationales et de l'absence de r glementation sp cifique à la Fintech[5]. Les autorit s publiques doivent mettre en place des r glementations claires et coh rentes pour encourager le d veloppement de la Fintech[1][2][5]. Les r glementations doivent être adapt es aux besoins des start-up de la Fintech et favoriser l'innovation[2][5]. Les r glementations doivent galement prot ger les consommateurs et garantir la stabilit financière[2][5]. En somme, la Fintech est un secteur en pleine volution au Maroc et en Afrique, avec un fort potentiel de croissance et des d fis r glementaires à relever[1][2][3][4][5]. Les autorit s publiques doivent travailler en troite collaboration avec les start-up de la Fintech pour comprendre les d fis auxquels elles sont confront es et laborer des r glementations adapt es[2][5]. L'avenir de la Fintech en Afrique est prometteur, avec des solutions novatrices pour r pondre aux besoins des populations africaines et des investissements en hausse[2][3][4][5]. Citations: [1] https://www.umgc.edu/current-students/learning-resources/writing-center/writing-resources/writing/essay-conclusions [2] https://writingcenter.unc.edu/tips-and-tools/conclusions/ [3] https://www.grammarly.com/blog/how-to-write-a-conclusion/ [4] https://owl.purdue.edu/owl/general_writing/common_writing_assignments/argument_papers/conclusions.html [5] https://www.indeed.com/career-advice/career-development/how-to-write-a-conclusion [6] https://www.masterclass.com/articles/how-to-write-a-conclusion

by Youness El Kandoussi | 8 months ago | 0 Comment(s) | 313 Share(s) | Tags :