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The Central Bank of Morocco (Bank Al-Maghrib) is responsible for maintaining financial stability and ensuring the safety and soundness of the banking system in the country. As part of its role, the central bank sets regulations and guidelines for operational risk management in Moroccan banks. The Central Bank of Morocco has implemented a number of measures to manage operational risk in the banking sector. These include: Establishing regulations and guidelines for banks to establish their own operational risk management systems and processes. Conducting regular inspections and supervisory actions to ensure that banks are in compliance with these regulations and guidelines. Encouraging banks to implement international standards such as ISO 31000 for risk management and ISO 22301 for business continuity management. Encouraging banks to establish crisis management teams and emergency plans to respond to potential operational risks. In addition, the central bank also monitors and assesses the overall level of operational risk in the banking sector and takes action as necessary to mitigate potential threats to financial stability. Overall, the Central Bank of Morocco plays a key role in ensuring that Moroccan banks have robust operational risk management systems in place, which helps to protect the interests of depositors, shareholders, and the financial system as a whole.

by Youness El Kandoussi | 2 years ago | 0 Comment(s) | 810 Share(s) | Tags :


Introduction : Le Maroc a fait des progrès significatifs dans la mise en œuvre de sa Strat gie Nationale d'Inclusion Financière (SNIF) en 2022, malgr les d fis conomiques. Cette strat gie se concentre sur plusieurs domaines cl s tels que les paiements mobiles, la microfinance, l'assurance inclusive et l'infrastructure de cr dit. Le pays continue de faire de l'inclusion financière une priorit en tant que moteur cl du d veloppement conomique et social, avec le gouvernement, la banque centrale et d'autres parties prenantes collaborant pour relever les d fis restants. Voici un r sum des principaux axes de la SNIF : 1. Microfinance : - Après l'adoption de la loi n°50-20 en juillet 2021, les travaux d' laboration des textes d'application et du cadre prudentiel relatifs à la microfinance se sont poursuivis tout au long de l'ann e 2022. - Des mesures sp cifiques ont t entreprises en faveur de l'InsurTech, avec l' laboration d'une feuille de route pour la promotion de la digitalisation au sein du secteur de l'assurance. 2. Assurance Inclusive: - L'amendement de la circulaire g n rale de l'ACAPS a permis d' tendre le p rimètre de distribution des produits d'assurance aux tablissements de paiement, dans le but d' largir l'accès aux services d'assurance. - Des tudes ont t men es pour mieux comprendre les besoins en assurance des micro et petites entreprises, soulignant l'importance de solutions financières innovantes et inclusives. 3. Offres Bancaires : - Des efforts ont t d ploy s par les tablissements bancaires pour largir l'inclusion financière des particuliers et des très petites et moyennes entreprises (TPME). - Une mission de revue de la feuille de route des offres bancaires a t lanc e afin d'ajuster les priorit s compte tenu de l' volution du contexte et de l' ch ance de la première phase de la strat gie. 4. Outils d'aide au financement des TPE et Start-ups : - Les discussions se sont poursuivies entre Bank Al-Maghrib, le Ministère des Finances et le Secr tariat G n ral du Gouvernement (SGG) pour faire aboutir le projet de loi sur les Bureaux d'Information sur le Cr dit (BIC). - Des efforts ont galement t d ploy s pour d velopper des m canismes de financement suppl mentaires pour les TPE, notamment le crowdfunding, les fonds de dettes et les OPCC. 5. Comit de Pilotage et de Coordination (CPC) : - Le CPC a tenu des r unions de coordination sp cifiques en 2022 pour suivre l'avancement des travaux, notamment sur les leviers "Offres Bancaires" et "Éducation Financière". - Une approche participative et progressive a t approuv e par le Comit de Suivi pour le d veloppement des programmes d' ducation financière, impliquant les diff rentes parties prenantes. 6. Participation aux v nements internationaux : - L'exp rience marocaine en matière de Strat gie Nationale d'Inclusion Financière a t mise en avant lors de plusieurs v nements internationaux en 2022. - Bank Al-Maghrib a notamment partag les r alisations de la strat gie et les enseignements tir s lors de ces v nements. 7. B n ficiaires des programmes d' ducation financière : - En 2022, les efforts constants des parties prenantes ont permis d'atteindre 27 080 b n ficiaires directs de formation, dont 66% de femmes, 31% de jeunes de 15 à 24 ans et 27% de personnes en milieu rural. 8. Outils de pilotage de la strat gie : - Bank Al-Maghrib a multipli ses efforts pour assurer une valuation fiable des diff rentes dimensions de l'inclusion financière, notamment à travers la mise en place d'un Système de Cartographie de l'Inclusion Financière (SCIF). - Ce projet vise à concevoir un outil de r f rence nationale en termes de donn es sur l'inclusion financière, en consolidant les indicateurs côt offre et demande ainsi que les donn es sociod mographiques. Lien vers le Rapport: https://www.bkam.ma/content/download/804298/8866311/Rapport%20SNIF%202022%20V%2003042024.pdf

by Youness El Kandoussi | 1 year ago | 0 Comment(s) | 463 Share(s) | Tags :


BRICS, (Brazil, Russia, India, China, and South Africa), was established on June 16, 2009, with the primary objective of reducing member nations' dependence on the Western economy. Notably, BRICS collectively represents 25% of the world's total economic output, covers 26.7% of the world's surface area, comprises 41.5% of the global population, and boasts a combined GDP of $25 trillion. And now we know why people are fascinated by BRICS.Upon closer examination, it becomes evident that South Africa stands as the weakest member. Meanwhile, Brazil contends with an alarmingly high interest rate of 13.25%, and Russia remains embroiled in a protracted conflict that was initially expected to last no longer than two months but has now persisted for a year and a half, leading to a host of sanctions. In contrast, India appears to hold the most promising long-term potential within BRICS, and China's impressive, meritocratic GDP cannot be overlooked.However, skepticism lingers regarding BRICS' ability to fully meet global expectations, driven by factors extending beyond economic considerations. One pressing concern centers on the significant conflict between BRICS' heavyweight members, China and India, particularly in the heavily militarized Tibet region. Recent events, such as those in the Galwan Valley, have amplified these tensions (https://lnkd.in/epYzuYpM).Additionally, the recent inclusion of new members within BRICS, including KSA, UAE, Argentina, Egypt, Iran, and Ethiopia, raises questions. While KSA and UAE demonstrate economic strength, Argentina grapples with staggering hyperinflation at 113.40%. Egypt's economic performance, marked by high inflation and a soaring interest rate of 19.25%, is concerning, and its national currency has seen a significant depreciation from $0.10 in 2008 to just $0.032 in 2023. Meanwhile, Iran struggles under sanctions.Amidst these uncertainties, my skepticism regarding BRICS' prospects remains unwavering. I believe that the recent recruitment of new members has extinguished the last opportunity for BRICS to thrive. Photo Credits to visualcapitalist.com

by Badr Elhamzaoui | 1 year ago | 0 Comment(s) | 570 Share(s) | Tags :